Usuario:Aliman5040/distrito de Bellinzona
Aliman5040/distrito de Bellinzona | ||
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Entidad subnacional | ||
Escudo | ||
Capital | Bellinzona | |
Idioma oficial | it | |
Superficie | ||
• Total | 209,3 km² | |
• Densidad | 223 hab./km² |
El Distrito de Bellinzona es uno de los ocho distritos del cantón del Tesino, tiene una superficie de 209,3 km² y una población de 46.569 habitantes a finales de 2006. La capital distrital es Bellinzona.
Geografía
[editar]El distrito de Bellinzona se encuentra ubicado en el centro-este del cantón. Limita al norte con el distrito de Riviera, al noreste con Moesa (GR), al sureste con la Provincia de Como (IT-25), al sur con el distrito de Lugano, y al oeste con Locarno.
Historia
[editar]De la edad media a la época moderna pieve y condado; bailía común de los cantones confederados de 1503 a 1798; distrito del nuevo cantón del Tesino desde 1803.
Normalmente se admite que la parroquia o pieve de Bellinzona tiene orígenes muy antiguos, igual si algunas pruebas irrefutables prueban lo contrario. La dedicatoria a San Pedro (el primer documento menciona en 1168 la Ecclesia Sancti Petri) deja suponer que la iglesia primitiva fue construida a finales de la antigüedad o a principios de las invasiones bárbaras (siglos V y VI). A lo largo de las vías de comunicación que unen la planicie lombarda a los valles alpinos, se encuentran numerosas iglesia dedicadas a San Pedro, para el cual los lombardos (dueños del Castillo de Bellinzona en 590) parecen tener una gran predilección. Aunque algunas incertitudes subsistan en cuanto a la localización precisa del primer edificio de culto, se considera generalmente que la iglesia debía encontrarse en la ciudadela fortificada del castrum construido por los Romanos en el siglo IV sobre la colina del Castelgrande. El cementerio
Le cimetière mis au jour dans la cour orientale de la forteresse lors des fouilles archéologiques de 1967 pourrait avoir un lien avec cette première église, abandonnée vers la fin du XIIIe s. et reconstruite, ainsi que les maisons des chanoines, dans le bourg situé en contrebas: ce déplacement est peut-être la conséquence de changements structurels (réduction de l'espace à l'intérieur du château et développement des constructions au pied de la colline). L'hypothèse selon laquelle l'église baptismale de B. serait Saint-Blaise, située à Ravecchia, hors les murs et le long de la route principale, semble définitivement écartée par l'historiographie contemporaine. Par ailleurs, les attestations, même tardives (XIIe-XIIIe s.), relatives à la présence d'édifices comme la cure, situés précisément à l'intérieur des murs du château, corroborent l'hypothèse d'une église baptismale sur la colline de Castel Grande.
Les historiens acceptent généralement l'hypothèse de Gotthard Wielich, selon laquelle la paroisse de B. aurait été attribuée, avec celles de Locarno et d'Agno, à l'évêque de Côme entre 1002 et 1004: cette attribution aurait scellé son détachement définitif de l'église mère ambroisienne (Milan) et modifié profondément la géographie diocésaine du sud des Alpes. Dès ce moment, l'autorité de l'évêque de Côme s'étendit sur une bonne partie du territoire tessinois, tandis que Milan ne conservait que le contrôle sur les vallées supérieures. De dimensions plutôt modestes, la pieve se confondait avec le comté du même nom (le comitatus médiéval, probablement issu d'un découpage datant de la fin de l'Antiquité). Elle n'eut pas à subir de division comme ce fut le cas ailleurs (Balerna, Agno, Biasca) et, grâce à sa taille, parvint à garder son unité jusqu'à la fin du Moyen Age et au début de l'époque moderne; par contre, les communautés rurales du comté obtinrent le démembrement de l'église mère et la création de paroisses autonomes. A l'instar des autres églises paroissiales des territoires subalpins, celle de B. obtint le titre de collégiale au XIIe s. déjà: au début du XIIIe s., le chapitre, qui exerçait l'autorité paroissiale, comptait un archiprêtre et six chanoines. Les statuts capitulaires datent de 1371 et furent amendés et confirmés en 1440.
En 1503, le traité d'Arona entérina la subordination de B. et du territoire environnant aux cantons d'Uri, Schwytz et Nidwald; de fait, B. se trouvait déjà sous le contrôle des Confédérés depuis avril 1500. De 1501 à 1798, le bourg et le comté furent administrés par leurs nouveaux maîtres à tour de rôle; leur représentant, le bailli ou commissaire, était originaire d'un des trois cantons et exerçait son mandat pendant deux ans. Durant cette période, il incarnait l'autorité politique, judiciaire et militaire suprême sur le territoire du bailliage. Outre un traitement fixe de la communauté de B., le bailli percevait les droits sur les actes administratifs et une partie des amendes. Il était secondé par quelques auxiliaires. Le percepteur (ou fiscal), le secrétaire de la ville et le lieutenant baillival (ce dernier nommé par le bailli) étaient originaires du bourg. Le secrétaire baillival, deuxième personnage du bailliage, était en revanche originaire d'un des trois cantons. En tant que représentant de la loi, le commissaire participait aux séances du conseil de B., veillant au bon fonctionnement de l'administration et à l'application des ordonnances, surtout celles concernant le commerce et les routes, dont dépendait la prospérité de B. et des cantons souverains. Ce système de gouvernement demeura en vigueur jusqu'en avril 1798, lorsque les trois cantons renoncèrent à la souveraineté sur les Bailliages italiens à la suite de l'invasion de la Confédération par les troupes françaises.
Avec l'acte de Médiation de 1803, B. fut capitale du canton du Tessin (en alternance avec Lugano et Locarno jusqu'en 1878) et chef-lieu de district; les limites de la nouvelle circonscription territoriale et administrative correspondaient à celles de l'ancien bailliage. L'actuel district de B. s'étend au nord jusqu'à la frontière septentrionale de la commune de Moleno. A l'ouest, la ligne de séparation des eaux entre les vallées du Tessin et de la Verzasca fait la limite. A l'est, celle-ci suit le cours du Tessin jusqu'à Gnosca; en aval, le district englobe la rive gauche et tout le versant de la rivière, y compris le val Morobbia. Isone et Medeglia sont à la frontière sud, puis la limite remonte vers la plaine de Magadino et le district comprend une partie de la rive gauche du Tessin. Outre la ville de Bellinzone, les communes d'Arbedo-Castione, Cadenazzo, Camorino, Giubiasco, Gnosca, Gorduno, Isone, Lumino, Medeglia, Moleno, Monte Carasso, Pianezzo, Preonzo, Robasacco, Sant'Antonino, Sant'Antonio e Sementina font partie du district, d'une superficie de 21 000 ha.
Comunas por círculo
[editar]Circolo di Bellinzona | ||||
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Comuna | habitantes (31.12.2006) | Superficie en km² | ||
Arbedo-Castione | 3963 | 21,3 | ||
Bellinzona | 16.983 | 19,1 | ||
Lumino | 1245 | 10,0 |
Circolo di Giubiasco | ||||
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Comuna | habitantes (31.12.2006) | Superficie en km² | ||
Cadenazzo | 2116 | 8,5 | ||
Camorino | 2513 | 8,3 | ||
Giubiasco | 7975 | 6,2 | ||
Isone | 366 | 12,9 | ||
Medeglia | 343 | 6,2 | ||
Pianezzo | 552 | 8,0 | ||
Sant'Antonino | 2235 | 6,6 | ||
Sant'Antonio | 197 | 33,6 |
Circolo del Ticino | ||||
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Comuna | habitantes (31.12.2006) | Superficie en km² | ||
Gnosca | 624 | 7,5 | ||
Gorduno | 688 | 9,2 | ||
Gudo | 770 | 9,9 | ||
Moleno | 106 | 7,4 | ||
Monte Carasso | 2413 | 9,7 | ||
Preonzo | 575 | 16,5 | ||
Sementina | 2905 | 8,4 |
Notas:
- Según el decreto del 23 de noviembre de 1831, la antigua comuna de Vallemorobbia es separada en las comunas de Pianezzo, Sant'Antonio y Vallerobbia in piano. Esta última fusionada según decreto del 2 de diciembre de 1867 con la comuna de Giubiasco.
- Según el decreto del 18. – 20 de noviembre de 1907, las antiguas comunas de Carasso, Ravecchia y Daro pasan a la jurisdicción de la ciudad de Bellinzona.
- Según decreto de mayo de 2004, las comunas de Robasacco y de Cadenazzo se deben fusionar el 13 de marzo de 2005 como Cadenazzo.