« Mosquée Al-Rahma d'Alger » : différence entre les versions
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La '''Mosquée Al-Rahma''' d'[[Alger]] (ou mosquée Errahma, aussi mosquée de la miséricorde d'Alger, précédemment ''église Sainte-Marie-Saint-Charles de l'Agha'' avant 1981) est située dans le centre de la capitale algérienne. C'est l'une des plus grandes mosquées de la ville. Sa capacité d’accueil est d'environ {{unité|5000|fidèles}} sur {{unité|1000|m|2}}. |
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Version du 28 octobre 2020 à 20:05
Ne doit pas être confondu avec Mosquée Ar-Rahma de Béziers.
| Mosquée Al-Rahma d'Alger | |
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| Présentation | |
|---|---|
| Culte | Islam |
| Rattachement | Wilaya d'Alger |
| Fin des travaux | 1894 ou 1903 |
| Architecte | Stéphane Boulin, Marcel & Albert Barbet (1894-1899) Beffroi (1930) |
| Style dominant | Éclectisme |
| Géographie | |
| Pays |  Algérie |
| Coordonnées | 36° 46′ 00″ nord, 3° 03′ 15″ est |
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La Mosquée Al-Rahma d'Alger (ou mosquée Errahma, aussi mosquée de la miséricorde d'Alger, précédemment église Sainte-Marie-Saint-Charles de l'Agha avant 1981) est située dans le centre de la capitale algérienne. C'est l'une des plus grandes mosquées de la ville. Sa capacité d’accueil est d'environ 5 000 fidèles sur 1 000 m2.
Histoire
La construction par le France dans un style byzantin a débuté en 1897, pour s'achever en 1903; c'était alors l'église Sainte-Marie-Saint-Charles de l'Agha[1]. Les architectes à l'origine de l'édifice sont Stéphane Boulin, Marcel & Albert Barbet. Une autre source affirme que le bâtiment est érigé en 1894, et qu'il a été financé par une personne belge fortunée[2]. Les vitraux sont conçus par la maison Frères Tossut (signature sur le sol en haut des marches menant au porche d’entrée de l'église)[3].
En 1979, une pétition circule pour que le bâtiment soit transformé en mosquée. La demande est acceptée en 1981. L'administration de l'Église Saint-Charles est alors cédée à la Wilaya d'Alger et le lieu de culte change de nom pour devenir la mosquée Al-Rahma. Les vitraux, autels et chairs sont retirés, et les nefs sont repeintes en blanc et jaune[2].
En 2009, une dizaine d'armoires de climatisation sont installées dans la mosquée[4].
En 2019, elle est un point de ralliement du Hirak[5].
Galerie
Références
- Raphaël Paul Koupaly, Les « percées » d’Alger, www.uir-memoire.blogs.usj.edu.lb (consulté le 2 janvier 2019)
- « Le Sort des églises d’Alger », www.liberte-algerie.com, 27 avril 2018 (consulté le 2 janvier 2019)
- Boussad Aïche, La mosaïque en représentation : la Maison Tossut à Alger, www.journals.openedition.org, 2015 (consulté le 2 janvier 2019)
- La mosquée E'Rahma climatisée, www.djazairess.com, 2 septembre 2009 (consulté le 2 janvier 2018)
- « 30e vendredi à Alger : la révolution pacifique retrouve sa grandeur », sur El Watan (consulté le )
